vendredi 19 juin 2009

Da Chirac Code : l'ultime preuve chiffrée

Ce message est la suite d'un texte entamé le 15 juin, et continué les 16, 17 et 18, à lire plus bas.


J’appelle le 17


Le Chirac Code, c’est pire que le Da Vinci Code, je peux vous dire. Dans ce dernier, être calé en histoire et en art suffisait à résoudre les énigmes à 1 franc 50 de ce cher Leonard. Mais avec Jacques Chirac, pardon ! On a déjà vu qu’il fallait gérer les anagrammes, la géo, le sport, la littérature. J’y ajoute les maths, ça vous mate ? Au passage, les pro du latin, du mariage, de la chimie et du folklore japonais auront leur moment de gloire dans ce qui suit ! Commençons par une simple addition. Un septennat plus deux quinquennats font ? Un dix-septennat. 17 ans, quoi.

Allons plus loin.

- En visite aux Etats-Unis peu de temps après les tristes attentats de 2001, Chirac, visitant une caserne americaine et y trouvant les conditions de vie particulièrement dures, déclare avec humour « Après ma carrière de président, je m’engagerais bien volontiers dans votre armée ! » Réponse de George W : « ça tombe bien, vous aurez pile-poil l’âge requis ! » Hoho ! Hilarant, non ? Mais avec tout ça, on apprend surtout que Bush est dans la confidence des 3 mandats chiraquiens. Pourquoi ? Parce que ! La limite d’âge inférieure pour s’enroler dans l’armée US est de 17 ans !

- Bernadette, peu après le coup du « oui puis non » au CPE, magistralement opéré par son mari, a ce commentaire : « Jacques est un premier homme de France super, mais singulier. » On est bien avancé ! Ça ne veut rien dire, si ? Réfléchissons un peu avant de conclure. Gardons « premier », « super » et « singulier », et prenons 17. Et constatons que 17 est précisément un nombre premier super-singulier* !

- Peu avant la fin du second mandat de Jacques, le personnel du palais de l’Elysée offre aux Chirac un bouquet de roses. Quelle est la réaction du Chichi ? « Le jour où je quitterai l’Elysée, ce sera un peu comme la fin d’un beau mariage ». Dites moi, vous ne sauriez pas à quel nombre correspondent les noces de rose, par hasard ? Ce serait pas le 17 ? Ben voyons !

- « A la fin de mes mandats, je pourrai le dire : j’ai vécu » annonce Chirac au détour d’une conversation au salon de l’agriculture en 2006 (une phrase que j’ai entendue de mes propres oreilles, étant présent cette année là à porte de Versaille). Avant d’ajouter « Sic mundi gloria transit » Ah ! Il parle latin, le bougre ! Il fait des citations… A moi, les latinistes ! Il y a sans doute quelque chose à creuser par là ! Par hasard… comment traduit-on « j’ai vécu » (ce que nous dit Jacques, je vous rappelle !) en latin ? Vixi ? Bravo ! Sauf que Jacques nous dit « Sic mundi gloria transit » au lieu de « Sic transit gloria mundi ». Le coup du désordre ! Encore ! Décomposition-recomposition de « vixi », please !

V I X I > X V I I

Autrement dit, XVII (17 !) Ah, ça vous la coupe ? Moi non, heureusement, mais il y aurait de quoi !

- Le responsable logistique de l’Elysée m’a un jour raconté ceci : à peine installé pour son second mandat, Chirac lui a demandé de remplacer illico presto toutes les lampes à Magnésium du palais par des lampes hallogènes. Drôle de lubie ! Dans un tableau périodique, quel est le numéro atomique de l’Halogène, Eugène ? Le 17, pardi ! Et le Magnésium ? 12… tiens tiens ! comme le nombre d’années de présidence de Jacquot sans son troisième mandat. Supersticieux, Chichi a donc préféré marquer directement son territoire : ce sera 17 ! Pas seulement 12 !

- Jacques aime les arts japonnais, on le sait. Le Sumo par-dessus tout. Mais il ne déteste pas les haïkus, loin de là. Haïku ? Qu’est-ce ? (outre un groupe de musiciens français jeunes et sympathiques?) Des poèmes du folklore japonnais comprenant un nombre de pieds précis et systématique. A votre avis, combien ? Me dites pas 17 ! Trop tard vous l'avez dit... et je ne peux honnêtement pas vous en vouloir, puisque c'est vrai.

Je vous passe les innombrables références aux Charentes Maritimes (17) ou à la police (numéro 17 au téléphone pendant longtemps), qui offrent d'autres indices.

Alors voilà! CQFD. Chirac est donc bien toujours notre président. Ça surprend, hein !

Euh si je disparais dans les prochains jours, veillez à ce que mon travail, qui en dérange plus d'un, soit publié et la vérité rétablie!

* Plus d’info sur cette sorte de nombre premier ici. Je n'y pige rien.

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